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Nouvelle classe faisant partie de la longue lignée des Porte-Avions français, il s'agit de pourvoir au remplacement du porte-avions Charles de Gaulle. En prime, actuellement, la permanence de disponibilité qui avait caractérisé la flotte aéronavale française n'est plus possible avec un seul porte-avions.
Pour rétablir cette permanence de disponibilité, il faudrait donc disposer d'un deuxième porte-avions. Je suis donc partisan de la solution peut être la plus
couteuse à court terme qui est la construction de 2 porte-avions à propulsion nucléaire. La France disposera d'un outil très performant qui lui garantira la possibilité de déployer dès que
nécessaire un porte-avions nucléaire. cette permanence n'est bien entendu actuellement pas possible avec une seule unité.
Les nouvelles unités seront nettement plus grosses que le Charles de Gaulle pour s'adapter à la taille supérieure des aéronefs. Quant à la puissance réacteur, elle sera porté à 135MW minimum grâce à l'installation de 3 réacteurs nucléaire de nouvelle génération d'une puissance de 200MW thermique minimum. Le tout alimentera entre autre les 4 moteurs électriques du navires.
J'envisage d'autoriser la 1ère unité dès la LPM 2019-2023. Le contrat signé dès 2020-2021 entre l'état et le consortium chargé de la construction (DCNS et les Chantiers de Saint-Nazaire) stipulera que le porte-avions doit être livré pour essais à la marine nationale dans un délai maximum de 8 ans et demi après la mise sur cale. Ce qui amènerait à une livraison à la marine nationale au plus tard fin 2034 pour le premier.
Quand à la date de commande de la deuxième unité, elle est encore floue. En effet, pour des gestions du personnels, il sera pas possible d'avoir les deux unités simultanément en essais. il faut donc séparer la construction des deux unités d'au moins 4 ans pour s'assurer de cette séparation. la deuxième unité ne sera donc pas commandé avant la mise sur cale du premier qui déterminera donc la date de mise sur cale du deuxième.
Les porte-avions type PAN-2 en chiffres :
Maitre d’œuvre : DCNS
Déplacement : 70 000 tonnes
Longueur : 275 mètres
Largeur : 76 mètres au pont d'envol
Puissance : 3 réacteurs nucléaire nouvelle génération de 200 MW thermique
Propulsion : 135MW - 4 lignes d'arbres
Vitesse max. : env. 29 nœuds
Distance franchissable : illimité - 60 jours de vivres
Équipage : 1.800 personnes (dont 1.000 pour la conduite du bâtiment)
armement :
groupe aérien : 38 aéronefs
Unités prévues (projet fictif) : 2